samedi 10 mai 2008

21 à 20.

93 500 euros, 73 victoires. Et une défaite. La fin d'une époque télévisuelle a sonné aujourd'hui, peu après midi. Requiem pour Mathieu, l'heureux candidat de Tout le monde veut prendre sa place, le jeu devenu phare de France 2, pour la case du midi. A force de ténacité, de talent et de culture générale, il a fini par tomber. Le score, m'a-t-on dit, était serré. 20 à 21. Au finish... Bye Math!

mercredi 7 mai 2008

La marge.

Parti depuis le samedi 26 avril, me voici en repos, le tout premier, en ce jour béni des dieux qu'est le mercredi 07 mai 2008. Il est 08 heures (heure locale) et le ciel n'est pas trop dégagé. Mais qu'importe, une journée tranquille s'annonce enfin.
Tranquille, pas tant que ça finalement. En effet, les nouvelles pleuvent, en ce début de matinée. L'actualité nous rattrape toujours, à un moment ou à un autre.
Hier, c'était l'anniversaire de L'élection. Presque une année passée au Château et combien de mécontents. Une majorité, semble-t-il. Sauf qu'on oublie que Rome ne s'est pas faite en un jour, ni en une année. Mais, les gens veulent du résultat, et dans l'immédiat. Quoi de plus normal? Vivant dans l'ère de l'immédiateté, c'est tout naturel. Mais restons les pieds sur terre. Les réformes que l'on peut qualifier de pots de pus sont passées et font partie de l'histoire d'un mandat laborieux. D'ici 2010 / 2011, tout n'ira que mieux. Les bonnes et belles réformes verront un jour nouveau et clair. Et 2012 sera, de ce fait, l'année de la reconduite. Vers une nouvelle frontière, moins kennedyenne, cependant.
Hier, cette nuit, tôt ce matin, les élections primaires américaines, du côté démocrate, on consacré deux candidats: Hillary Clinton et Barack Obama... L'un gagnant la Caroline du nord, l'autre l'Indiana. Avec une marge de victoire très courte, mais réelle. Tant et si bien que le sénateur noir se retrouve à 189 délégués de la marche menant à l'élection générale alors que la sénatrice ancienne-first lady à 344 suffrages... La fin du chemin sera long, rude et semée de mises à mort. L'issue, incertaine, de ces primaires laisse présager une convention houleuse. Et si Al Gore revenait? Non, ne rêvons pas!
La question du jour, maintenant, ne pas respecter les règlements mène-t-il au chaos? Et, a-t-on le droit à quelque marge d'erreur?