vendredi 3 avril 2009

Mille milliards!

1100 milliards de dollars, voici le chiffre du jour. C'est ce qui ressort des discussions du G20: un grand plan de relance au niveau mondial. Et plus de 1000 milliards, ça en fait de la relance! Tant et si bien que les bourses mondiales, hier soir, et probablement aujourd'hui, ont retrouvé les chemins de la croissance et les clôtures à la hausse. Enfin!

Quid de Thomson et des grandes valeurs bancaires?

A suivre!

jeudi 2 avril 2009

Bal à France Inter.

Cet homme a du talent. Cet homme, c'est notre Président. De Droite, il vient de lancer la nomination de Philippe Val à la tête de la radio France inter. Etrange.

Etrange, car Val est l'actuel patron de Charlie Hebdo. Ce journal satyrique est plus connu pour dénoncer régulièrement les actions du gouvernement et lui taper dessus que de chanter ses louanges. Alors, logiquement, votre serviteur, qui n'a rien perdu de sa verve, s'interroge. Comment un gauchiste, n'ayons pas peur des mots, arrive-t-il a avoir les faveurs de l'Elysée pour aller diriger une radio de la Maison ronde?

Alors oui, on répondra que c'est une tentative du pouvoir pour casser l'unité (sic) de la Gauche. Et lui faire la nique. Ce n'est pas faux. Et quoi de plus normal, comme ses membres cèdent aux louanges... Il vaudrait mieux s'interroger sur la fidélité...

A suivre.

mercredi 1 avril 2009

Pour [nous] comprendre.

Le regard vague, une dernière œillade en arrière. Sur le passé. Quelques mots. En tête. En rappel et en souvenir(s).

Las, en écoutant, au loin, quelques rythmes, souvenir d'une chanson sur sa drôle de vie. Un soir lointain. Déjà.

Combien de jours? Combien de mois? Combien d'années?

Combien de temps?

Dis...

mardi 31 mars 2009

Nouvelle star 2K9.

La modestie paye et payera toujours!

dimanche 29 mars 2009

Honte dominicale.

Ca se passe de commentaires... et c'est une démarche volontaire!

Lettre de l'enfer #4.

"Alors, te voici. De ma tour d'ivoire noire, je te vois arriver. Presque en guenilles, quasiment nu, je te vois si proche de moi. Tu continues de cheminer, sans me remarquer. Ton regard est fixé sur cette ligne d'horizon qui te mènes jusqu'aux méandres de mon existence. Tu ne lèves plus les yeux. Depuis quand n'as-tu pas regardé en hauteur ou derrière toi. Si seulement tu savais le nombre de fois où j'étais si proche. A quelques mètres, te précédant. Jamais tu n'as eu cette idée brillante de te projeter en arrière pour mieux avancer. Tu m'aurais probablement remarqué et tout cela aurait changé.
Depuis le début de ton périple, je sais que tout cela finira mal. Le savais-tu? Je reste intimement persuadé que tu devais au moins t'en douter. C'est ainsi, c'est la vie, pourrait-on dire. Réponse toute facile. Tellement éculée.
Je ne vais donc pas te faire souffrir davantage. Je pars. Cette fois, pour de bon. Tu as poussé tes pas jusque vers moi. D'ici quelques minutes, tu entendras un bruit sourd et distingueras vaguement une forme. Ce qui reste de moi.
Lorsque tu liras ces mots, je ne serai plus là. Ce bruit sourd appartiendra déjà au passé. Et à cette histoire qui fut la notre.

Continue d'avancer, je t'en prie. Retourne jusque chez toi. Ce monde là, cet enfer, n'est pas le tien. Tout juste m'allait-il. Et encore... Ma place n'y était pas véritablement. Prend grand soin de toi.

Je pars."