vendredi 2 septembre 2011

Au secours !

Je pense, en ce beau vendredi de septembre, que l'état de mon bureau a atteint un point de non retour... Je fais quoi, moi, maintenant ?!


jeudi 1 septembre 2011

28 ans, 28 chansons - #10



Aujourd'hui, une chanson pour quand on n'a pas envie de rentrer à la maison.
Eddy Mitchell - Il ne rentre pas ce soir.

Il y a des chansons qui vous accompagnent durant vos soirées d'errance, sans que vous ne sachiez trop d'où elles sortent. Des chansons qu'on écoute comme ça lorsqu'on est un peu perdu et qu'on ne sait où aller. "Il ne rentre pas ce soir" de Monsieur Eddy en fait partie. L'artiste y retrace le cheminement lent et douloureux d'un pauvre type venant de perdre son boulot. Mais ce n'est pas seulement une histoire, c'est une odyssée. L'odyssée de l'agonie d'un gars qui n'a rien demandé à personne et qui perd, soudainement, tout. Raison de son errance nocturne.
"Il ne rentre pas ce soir", certes, mais rentrera-t-il un jour ? La chanson ne le dit pas... Car, en guise de conclusion on y entend juste "qu'il n'a plus d'espoir, plus d'espoir..."

mardi 30 août 2011

28 ans, 28 chansons - #9



Aujourd'hui, une chanson pour faire sa chiennasse sur les dancefloors (en mode seventies).
Baccara - Yes Sir I can boogie.

Allez, ne cherche pas ; ne cherche plus ! Oui, je sais, tu en as rêvé des nuits entières, eh bien, maintenant elle est là. "Elle", c'est une chanson. THE song pour te la jouer sur n'importe lequel des dancefloors du monde entier ! Yes Sir I can boogie c'est la quintessence de la "hottitude" , surtout lorsqu'elle est revue et corrigée (douce fessée) par Sophie Ellis Bextor. Cette version, elle pulse ! Ca envoie des rythmes effrénés et on a subitement envie de devenir comme on n'a jamais été... Oh oui, on a une irrésistible envie de plus qu'un boogie-woogie... 

Cependant, qu'on ne s'y trompe pas ; la version originale chantée par Baccara est toute aussi érotique et chargée de désirs (mate cette chorégraphie de fou !). A l'écoute, on sent les rythmes langoureux des 70's, la Liberté et là encore, ça pue le c**. Et ça, ça me plaît ; pas toi?


dimanche 28 août 2011

Je(u) concours.

Ami(e) lecteur(e) - oui, j'ose le néologismo-barbarisme -,

il y a presque tout pile une semaine, au cours d'une discussion estivale (oui, il faisait beau), un sujet épineux est venu troubler une belle après-midi ; mais à quoi diable (ou bordel) peut bien servir l'espèce de loquet que l'on peut ouvrir sur le tuyau de l'aspirateur ?! Pour être plus clair, voici l'objet du délit (voir ci-contre)... Jusqu'alors, aucune réponse qui ne soit satisfaisante ; c'en est rageant !

Aujourd'hui, dimanche 28 août 2011, je lance donc solennellement un SOS (d'un Terrien en détresse, oui, je sais, c'est facile!) ; si vous avez quelque idée que ce soit (la bonne si possible), merci d'apporter votre lumière à l'adresse mail spécialement dédiée :  lemysteredelaspi@gmail.com

La meilleure réponse aura droit à une folle nuit d'amour une invitation au restau avec le charmant (si, si, c'est vrai !) auteur de ce bloug ! Et ça, ça n'a pas de prix !

28 ans, 28 chansons - #7 et 8


Aujourd'hui, deux chansons pour dire "Je t'aime".
Antony & the Johnsons - Hope there's someone.
The Irrespressibles - In this shirt.

Il y a parfois, dans une existence, des chansons évidentes. Des chansons qui s'imposent d'elles-mêmes. Avec leurs mots qui apparaissent comme tellement clairs qu'on aurait envie d'aimer la Terre entière. Mais, ces chansons, avec leurs introductions (surtout "In this shirt"), elles vous déchirent. Les oreilles, l'esprit et le coeur. Parce que vous vous rendez compte que votre coeur n'est peut-être pas assez grand pour bien aimer suffisamment celles et ceux qui vous accompagnent, de près ou de loin, au jour le jour. Alors forcément, ce sont des chansons qui font pleurer. A cause de la peur de ne pas être à la hauteur de tous ceux que vous considérez et aimez (même s'ils  ne sont pas si nombreux...). Parce que finalement c'est ça cette fichue vie. 

Et puis, un matin, vous vous réveillez avec un air en tête. Entêtant. Obsédant. Et merveilleux. Car, il contient en quelques mots tout ce que vous ressentez pour l'Autre. Vous pleurez. L'armure (ou la carapace) se fend et tombe. Vous y pensez, vous séchez vos larmes. Et vous vous dîtes, pour finir, que le plus important est là ; en musique, dans vos oreilles et dans votre coeur. Vous venez de toucher le sublime et continuez d'y croire. Car, au final, ils sont tous là. Quelque part et partout à la fois.

Amen !