samedi 15 mai 2010

Interview exclusive: Hector en a derrière la moustache!


Jeudi 13 mai 2010, c'est l'Ascension et c'est ce jour que la chaîne M6 a choisi pour diffuser le cinquième prime-time de Nouvelle Star. Si vous avez raté quelques épisodes, il faut savoir que depuis la fin des castings, une chanteuse se détache clairement du troupeau: Luce!

Luce, c'est cette jeune vingtenaire originaire de Perpignan qui illumine le petit écran depuis qu'elle est apparue dans la lucarne avec une moustache pour passer les premières épreuves. Et depuis, elle irradie totalement! Tant et si bien qu'un téléspectateur en est tombé follement et enlucément amoureux: Hector Moustache.

Alors, un primetime le jeudi de l'Ascension, est-ce un signe? En tout cas, nous avons rencontré Hector Moustache, à défaut de rencontrer son amoureuse (Luce!).

Il a décidé de nous accorder cette interview exclusive pour nous en dire plus. Plus sur Luce, sur son amour, et un peu sur lui... Rencontre!

***

Mon Monde: Bonjour Hector Moustache?
Hector Moustache: Bonjour. Et merci beaucoup pour cette rencontre. Je suis heureux et honoré d’être questionné par quelqu’un d’aussi sympathique !
[Au serveur : « Un mojito pour moi, une menthe à l’eau pour le jeune homme, s’il vous plaît ! »]

Hector, est-ce que je peux te vouvoyer?
Si tu veux. Puis-je, moi, te tutoyer ? J’ai pris le parti de tutoyer Luce, alors, si tu le permets, j’en ferai autant avec toi. Mais je n’ai rien contre le vouvoiement. Je dirai même que, d’habitude, c’est une forme d’expression que j’aime beaucoup. Surtout avec les femmes. J’ai remarqué que, souvent quand une femme me plaît, je la vouvoie. C’est un signe de distinction, d’élégance, avec une petite distance qui pose son jeu, bien agréable. Cela dit, avec Luce, le tutoiement s’est imposé d’emblée. Cela signifie, je crois, que je n’éprouve pas pour elle que le simple désir qu’un homme peut ressentir face à une belle femme. Il y a quelque chose de plus profond, pour moi, envers elle : je l’aime, vraiment. Je l’aime, tout simplement. Je l’aime, avec une évidence qui me surprend moi-même. Un peu comme si, elle et moi, nous nous étions toujours connus.

Bon, passons aux choses sérieuses, cher Hector! D'où vous vient cet amour indéfectible pour Luce de la Nouvelle Star?
Eh bien, je ne sais pas ! Et c’est ce qui fait la force et la vérité de l’amour, justement. Le véritable amour est une surprise, il arrive sans crier gare ni dire pourquoi. Cela n’a pas été un coup de foudre – je ne crois pas beaucoup, d’ailleurs, à ce genre de truc. Au fil des castings et des épreuves du théâtre, j’ai découvert Luce. Ses apparitions m’ont amusé, puis charmé, puis captivé. C’est venu peu à peu.

Oui bon d'accord, mais vous souvenez-vous avec précision lorsque ce coup de foudre vous a frappé?
Tu ne m’écoutes pas, Batman : ce ne fut pas un coup de foudre ! Cela dit, l’alchimie qui m’a conduit vers un amour éperdu pour Luce a eu lieu, je crois, au moment de son premier prime à Baltard. Quelque chose s’est produit. Tout ce qui s’était passé auparavant s’est transformé en un sentiment qui s’est imposé à moi comme une évidence : l’amour. Je n’ai plus vu qu’elle. Tout mon être s’est tourné vers elle. J’ai eu faim d’elle, soif d’elle. Je me suis dit : mais c’est elle, la femme de ma vie ! Et j’ai immédiatement créé mon blog.

On l'a compris, vous êtes totalement (enlucément) fan ; mais qu'est-ce qui vous distingue des milliers (millions?) de fans de la belle Perpignanaise?
Je ne me sens ni ne me définis comme un fan. Je ne suis pas un simple admirateur de Luce en tant que participante à une émission de télévision. Je l’aime, c’est très différent. Cela comporte une part d’admiration, bien sûr. Je suis conquis par sa beauté, par son charme, par sa personnalité, par sa voix, par son chant, par son talent, par son génie. Mais tout cela ne représente qu’une partie de ce qui me relie à elle. Il y a aussi, chez moi, du désir, l’envie de partager des choses simples, des choses romantiques, des choses plus physiques aussi [sourire], des choses du quotidien. C’est pas encore gagné, mais j’y crois !

Hector, jusqu'où pourriez-vous aller par amour pour la Belle?
Je peux aller très loin, mais sans me renier moi-même, ni faillir à mes principes. L’amour est un don de soi, pas l’aliénation de soi. Par exemple, si Luce me demande de publier ma photo sur mon blog, donc au vu de tous, ce sera non ! [rires] Mais je suis prêt à bien des coups d’éclat, bien des surprises, bien des folies ! J’ai beaucoup d’imagination !

Quelle chanson souhaiteriez-vous que Luce interprète, si vous pouviez la guider dans ses choix?
Tout d’abord, d’après ce que je crois savoir, mais je peux me tromper, les candidats de la Nouvelle Star ne choisissent pas librement leurs chansons. Je crois que la production leur propose un ensemble de titres, parmi lesquels ils choisissent celui qu’il vont chanter au prochain prime. Mais cela ne nous interdit pas de rêver, alors allons-y ! J’aimerais beaucoup entendre Luce chanter, par exemple, Light my Fire des Doors, Conquest des White Stripes, Acceptable in the 80’s de Calvin Harris, In the Summertime de Mungo Jerry, You Really Got Me des Kinks, Life on Mars ? de David Bowie, Cosmic Girl de Jamiroquai, Help des Beatles, ou encore mon standard de jazz préféré : Stormy Weather. Côté chanson française, j’adorerais qu’elle interprète J’veux un mec d’Adrienne Pauly. Si elle le chante un jour, je hurle : « Moi, moi, moi, j’suis là ! » [rires] Mais bon, il ne reste que cinq primes !

Hector, assez parlé de Luce... pouvez-vous nous en dire plus sur vous?
Je m’appelle Hector, Hector Moustache, je suis trop fort et j’ai une grosse moustache !

Allez, Hector, un petit effort!
Bien que je tienne à rester discret, je consens, exceptionnellement, à te livrer quelques informations inédites et exclusives, allez ! On me demande souvent mon âge. Eh bien je suis plus âgé que Luce, puisque je suis trentenaire. 36 ans au compteur, pour être précis. Eh oui, il y a une certaine différence entre nous ! Mais je suis jeune d’esprit, fantasque, un peu déjanté, comme Luce. J’ai lu quelque part que Luce aime les mecs plus âgés : c’est tout bon pour moi, ça, non ? Sinon, mes centres d’intérêt, dans la vie, sont la lecture, la musique (j’en ai joué moi-même, notamment du tuba). Je suis également féru de cinéma et je collectionne les fume-cigarette. Je suis, enfin, un amoureux de Paris. Je regrette, d’ailleurs que ce mois de mai soit si pourri. Je me réjouissais que Luce puisse connaître le charme du printemps parisien. C’est raté. Sinon, j’adore le poulet aux champignons. Voilà, c’est tout, je n’en dirai pas plus aujourd’hui. Et surtout, ne me prends pas en photo, hein !

Vous êtes bien secret, cher Hector! Allez, qu'avez-vous derrière la moustache?
Derrière la moustache ? Deux lèvres sensuelles et gourmandes qui ne demandent qu’à susurrer des mots tendres et à couvrir Luce de baisers.

Un dernier mot pour conclure?
À ceux qui me disent fou, je réponds que je préfère la folie de la passion à la sagesse de la raison.
[Au serveur : « L’addition est pour le jeune homme, merci ! »]

***
Et Hector en 4 ou 5 dates, ça donne quoi?

  • 1515 : Marignan
  • 1664 : année internationale de la bière
  • 1815 : le mot de Cambronne
  • 1948 : sortie de la Citroën 2CV
  • 2010 : Luce nouvelle star !

vendredi 14 mai 2010

Exclu mondiale sur "Mon Monde"!

Mon Monde a pu obtenir une interview exclusive d'Hector Moustache, le fol-amoureux de Luce de la Nouvelle Star sur M6.

A suivre très prochainement sur Mon Monde qui reste aux avants-gardes de l'info!

Un Louxor, sinon rien!

Encore une fois, il en fallait de l'audace pour s'attaquer, seule, à Philippe Katerine. Encore une fois, le défi et le contrat ont été pleinement remplis par la wonderwoman de cette Nouvelle Star 2010: Luce!

Ce jeudi de l'Ascension, pour son nouveau primetime, la jeune chanteuse de Perpignan (ou de Montpellier, c'est selon!) avait choisi le très dansant et néanmoins déjanté "Louxor, j'adore".

Entraînée par un orchestre déchaîné dans un Baltard surexcité, notre Luce nationale a opté pour une chanson toute en "Gouaille rythmique". Je m'explique, attendez deux minutes! 
En se la jouant tenancière de vieux bouge de boulevard, avec son élocution de Titi parisien, Luce a bel et bien montré que c'était elle la patronne. Et que c'était à nous de la suivre dans son délire psychédélique. Alors oui, pas de doute, nous aussi, on adore! 

Ce jeudi soir avait des airs rythmés, endiablés et colorés! Le pavillon Baltard, le temps d'un long instant, avait donc pris ses quartiers au "bar du Louxor". Pour sûr, on avait de quoi être subjugués.
D'autant que, et sans vouloir éclipser le soleil enlucé, Benjamin a, encore, montré que la valeur n'attendait pas le nombre des années. Son tour de chant sur Keane et son "Somewhere only we know" était tout bonnement parfait vu de mon oreille... A suivre!

Allez, pour conclure, je vous fiche mon billet que la finale se jouera entre Luce et Ben. Un encore jeune teenager contre une toute jeune vingtenaire: le choix sera cornélien. Ou ne sera pas! Qu'en dit Hector?

Luce, j'adore!

Dès que j'ai 5 minutes, je reviens vous en parler en détails... j'ai mon interprétation à moi, là-dessus!

Mais, je dois filer en pèlerinage à la Fnac, ça fait un bail que je n'y ai pas mis les pieds ; ça me manque trop. Et comme la vie est une affaire de choix...

mardi 11 mai 2010

Franchement...

...à regarder de près l'affiche d'un produit Somatoline Cosmetic (TM), on peut se poser des questions!

1. Le gazier en train de roupiller a-t-il vraiment besoin du produit qu'il est censé vendre? 
Bon, je vous accorde que si on avait mis un gars en obésité morbide sur une affiche 4 par 3, ç'aurait été moins vendeur...

2. Et une question des plus sérieuses: QUI DORT COMME CA LA NUIT?!
Oui, parce que si vous dormez avec le bras plié comme ça, et sur le dos, votre témoignage m'intéresse ; je prépare une thèse sur le sujet!

3. Du coup, des fois je me demande si on nous prendrait pas pour des cons...

Sur ce, je vous laisse, j'ai un pot de crème glacée qui m'attend près du canapé!

Le retour de Jean-Michel.

Ca aurait pu passer inaperçu, mais ce midi Jean-Michel est venu prendre un café au bureau (enfin à la cafet'). Et comme ça faisait depuis mon départ en vacances qu'on ne s'était pas vus, autant vous dire qu'il en avait des trucs à me raconter.

On était gentiment attablés lorsqu'il a commencé à me parler d'un épisode qu'il avait vécu, quelques jours auparavant. Apparemment, ce jour-là, il attendait pour passer à la caisse de son self, et devant lui était prépositionnée une espèce de grosse femme manitobène, "du genre le quintal, voire le quintal et demi". Je ne sais pas s'il était bien opportun de le préciser, mais Jean-Michel a cru bon que oui, avant d'ajouter:
- Toujours est-il, elle était devant moi et devine ce qu'il y avait sur son plateau?!

Comme j'ai vite donné ma langue au chat, il a poursuivi, presque triomphant:
- Ben figure-toi qu'elle s'était pris une grosse entrée, un mix-grill (saucisse, merguez, etc.) avec des frites, une tarte tatin et un autre dessert du genre crème dessert hyper-calorique!
- Ah oui, quand même, ai-je ânonné.
- Ben oui, carrément, c'est pas weight watchers du tout! Et puis, la grosse pour se donner bonne conscience, elle s'était pris un Coco Light! Genre!
- Oui, vu la teneur du plateau le Coca n'était peut-être pas le meilleur choix, ai-je tenu à préciser, plein de mesure, comme à l'accoutumée.

Tout ça pour dire qu'en me racontant cet épisode palpitant, il m'a fait penser à Marjorie de Little Britain. Cette Marjorie anime un atelier "Fat Fighters" et est, à tous points de vue(s), détestable. Censée aider des Anglais (ou Américains) obèses, elle ne fait que les déprécier, voire les insulter. Bien sûr, Jean-Michel n'a pas été aussi rude dans son propos, mais, je suis persuadé qu'une Marjorie Dawes sommeille en lui... "mais bien sûr, vous n'êtes pas obligés de me croire".

dimanche 9 mai 2010

00'51"

Pris d'un très grand appétit de fin de dimanche, je viens de me (re)plonger dans les vidéos des dernières prestations de Luce, de Nouvelle Star. Ayant toutes ses interventions baltardiennes sur mon disque dur, cela me permet de les regarder à discrétion, et ad libitum, surtout.
Armé de mon bâton de pèlerin pour partir en terre sainte, je me suis remis le film depuis le commencement, avec "Qui de nous deux". Il y avait déjà de l'idée. Quand je suis passé à "Dream a little dream of me", j'ai senti monter le désir... atteint pleinement avec son "Etienne" (que j'écoute en boucle, depuis). Comme j'ai frissonné et tremblé. Et puis, Bon Dieu, j'ai capté un moment magique, à partir de cette fabuleuse 51e seconde. La chanteuse vient habiter cet Etienne qu'on attendait mollasson. Totalement pénétrée, endiablée, la belle Perpignanaise envoûte et électrise tout sur son passage. Je comprends maintenant mieux pourquoi Hector Moustache en est tombé follement amoureux. Parce qu'au final, c'est elle qui est totalement folle, comme un de ces personnages évadés de l'asile d'Arkham. C'est une folie douce qui invite au voyage ; un peu hors du monde. Baudelairien...