lundi 12 mai 2008

Et la nuit.


Un baril à plus de 125 dollars à New York et Londres. Un tremblement de terre dévastateur en Chine. Une catastrophe en Birmanie. Des cyclones Outre-Atlantique. Des morts et des disparus par millions. Aux quatre coins du globe. Sida. Paludisme. Cancer. Accidents de la route.
Dieu est mort. Il y a bien longtemps...
Et puis, en pleine nuit, on se réveille. A cause de la pluie. On pense au déluge, aux caprices de cette terre étrange et étrangère. On s'endort, quelques minutes après. Sans être apaisé, mais heureux.
Car, on se rappelle d'un sourire. D'un éclat de rire. D'une jeunesse qui ne sait rien. Et qui pourra tout. Quand la pluie se sera calmée.
Demain.

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