vendredi 29 août 2008

Convention - Final day.

"Yes we can... Yes we can... Yes we can..." Une foule en liesse, hier soir, a accueilli le prétendant démocrate à la présidence des Etats-Unis, dans un stade gigantesque de Denver. Le sénateur de l'Illinois qu'il représente depuis janvier 2005 au sénat fédéral a accepté, en entame de discours, sa nomination. De manière officielle, humble et avec gratitude.

"Ce soir, beaucoup d'Américains sont au chômage and beaucoup travaillent dur pour moins. Beaucoup ont perdu leurs maisons et voient la valeur de leur bien chuter. Beaucoup ont une voiture mais ne peuvent plus se permettre de rouler avec, ont des factures qu'ils ne peuvent plus payer. (...)

Ceci est le résultat des politiques ratées de George W. Bush. Amérique, nous sommes mieux que ces huit dernières années. Nous sommes un bien meilleur pays que celui-ci. (...)

Ce soir, je dis au peuple américain, aux démocrates et républicains et aux indépendants de tout ce grand pays: assez! Cette élection est notre chance de tenir la promesse de l'Amérique. (...) Quelle est cette promesse? C'est une promesse qui dit que chacun d'entre nous a la liberté de faire de sa vie ce qu'il en veut, mais aussi que nous avons tous l'obligation de nous traiter, les uns, les autres, avec dignité et respect (...)

Nous ne pouvons pas faire demi-tour", a martelé le candidat Obama, en annonçant, par ailleurs, des diminutions d'impôt en direction des familles les plus pauvres et la fin de l'engagement en Irak, de manière réfléchie et responsable.

La machine est en marche. Comme ce changement tant de fois souhaité.

0 Commentaire(s):

Enregistrer un commentaire