Hier soir, samedi 14 mars 2009, peu avant 20 heures, la nouvelle est tombée. Alain Bashung, un des derniers piliers de la musique française, a "éteint son clope".
Celui qui a composé un répertoire riche et ô combien varié s'en est donc allé "faire le mort". Car, à la station balnéaire, on ne se "fait pas prier". Jamais.
Ce matin, on aurait aimé, malgré tout, qu'il ait passé la nuit à mentir, comme dans une de ses chansons titres.
Quoiqu'il en soit, il "subsiste encore [son] écho" et nous continuerons à "prendre des trains à travers la plaine. (...) Comme [des] Lego".
Celui qui a composé un répertoire riche et ô combien varié s'en est donc allé "faire le mort". Car, à la station balnéaire, on ne se "fait pas prier". Jamais.
Ce matin, on aurait aimé, malgré tout, qu'il ait passé la nuit à mentir, comme dans une de ses chansons titres.
Quoiqu'il en soit, il "subsiste encore [son] écho" et nous continuerons à "prendre des trains à travers la plaine. (...) Comme [des] Lego".
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