"Putain deux ans!", pourrait-on s'exclamer pour reprendre les bons mots des Guignols de l'info. Car oui, depuis deux années tout va de travers. Pas plus qu'avant vous me direz. Et vous aurez raison. Mais, depuis ces quelques temps on parle de tout, partout, et en continu. Surtout des mauvaises nouvelles. Un dessin?
Grippe mexicaine, crise financière et sociétale, famine, maladies, guerres, etc. Tout cela, sans compter nos médias d'information(s) en continu. Alors, de fait, nous restons cloîtrés dans ce marasme médiatique et actuel. Pas moyen d'avancer, on vous le dit et le répète à chaque flash. On est dans la m... jusqu'au cou et pas moyen de décoller. Va falloir s'habituer!
Samedi, en traînant des pas nonchalants dans les rayons de quelque grande enseigne culturelle parisienne, cette petite phrase qui en dit long sur notre situation a été entendue: "Au moins avec cette grippe porcine, on parle plus de la crise. Et les gens achètent de nouveau", lançait un vendeur de jeux vidéos à son collègue venu des bacs informatiques... et libertés! C'est que le bougre n'avait pas tort. Ou si peu. Car oui, une actualité en chasse une autre. Parfois très temporairement, épisodiquement, et d'autres fois, plus longuement. M'est avis que cette crise sanitaire va nous occuper un temps certain...
Mais, à bien y réfléchir, nos actualités se suivent et se ressemblent bien souvent. On a déjà eu la crise de 1929, celle du début des années 1970, puis des années 80, en pleine New Wave british! Quoi de plus normal que de laisser un peu de place pour celle du début des années 2000!
Début du 20e siècle, grippe espagnole. Début du 21e: grippe aviaire... Et maintenant un nouveau vecteur de mort! Allez hop!
Tout ces faits nous rappellent à une chanson des Beatles: "A day in the Life". Le narrateur y vit les événements de la vie environnante de manière presque désabusée. Car, comme il le chante, le livre a déjà été lu, et le film déjà vu.
C'est donc cela que nous vivons: un perpétuel déjà-vu. Alors pourquoi notre présent est-il si brumeux?
Grippe mexicaine, crise financière et sociétale, famine, maladies, guerres, etc. Tout cela, sans compter nos médias d'information(s) en continu. Alors, de fait, nous restons cloîtrés dans ce marasme médiatique et actuel. Pas moyen d'avancer, on vous le dit et le répète à chaque flash. On est dans la m... jusqu'au cou et pas moyen de décoller. Va falloir s'habituer!
Samedi, en traînant des pas nonchalants dans les rayons de quelque grande enseigne culturelle parisienne, cette petite phrase qui en dit long sur notre situation a été entendue: "Au moins avec cette grippe porcine, on parle plus de la crise. Et les gens achètent de nouveau", lançait un vendeur de jeux vidéos à son collègue venu des bacs informatiques... et libertés! C'est que le bougre n'avait pas tort. Ou si peu. Car oui, une actualité en chasse une autre. Parfois très temporairement, épisodiquement, et d'autres fois, plus longuement. M'est avis que cette crise sanitaire va nous occuper un temps certain...
Mais, à bien y réfléchir, nos actualités se suivent et se ressemblent bien souvent. On a déjà eu la crise de 1929, celle du début des années 1970, puis des années 80, en pleine New Wave british! Quoi de plus normal que de laisser un peu de place pour celle du début des années 2000!
Début du 20e siècle, grippe espagnole. Début du 21e: grippe aviaire... Et maintenant un nouveau vecteur de mort! Allez hop!
Tout ces faits nous rappellent à une chanson des Beatles: "A day in the Life". Le narrateur y vit les événements de la vie environnante de manière presque désabusée. Car, comme il le chante, le livre a déjà été lu, et le film déjà vu.
C'est donc cela que nous vivons: un perpétuel déjà-vu. Alors pourquoi notre présent est-il si brumeux?
1 Commentaire(s):
Wé wé, c'est à la crise que tu pensais samedi au troisième étage d'une grande enseigne parisienne...
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