vendredi 21 mai 2010

Luce superstar!

Jeudi soir, il faisait chaud à Baltard! Je ne sais pas pourquoi, mais tout le monde avait l'air bien remonté et excité. Ca parlait cru, et ça parlait cul, surtout. Vous excuserez probablement cet excès de langage, mais il fallait que ça sorte et qu'on en parle. Mais d'où venait donc cette tension toute sexuée, voire sexuelle ?

Là-dessus, j'ai ma petite explication. Toute simple, toute bête et toute frivole (il en faut parfois de la frivolité !). Je crois bien que Luce a mis le feu aux poudres avec "ses sucettes" empruntées à France Gall.  Mi-ange, mi-démon, elle a bel et bien pris le parti de surfer sur le double sens de ce chef d'œuvre gainsbourien, et ce, comme qui rigole.

Facétieuse, pénétrée, possédée, enjouée, doctrinale et aguicheuse, Luce a remis au goût du jour ces "sucettes au goût anisé". Et mercredi soir, Baltard avait des allures de paradis. Là-haut, Gainsbourg a dû goûter cette reprise jouée de manière enlucée pour notre plus grand plaisir, et seulement "quelques penni[e]s"...

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