Hier après-midi, sur la ligne 1 de ce bon vieux métro parisien, la brigade du bon goût et de la mode a interpellé une jeune femme en flagrant délit de vulgarité.
Pour vous dresser un portrait robot de la délinquante, la fille en question, une vingtaine d'années, portait un sac à main qui devait peser dans les 3 tonnes 5. Non contente d'avoir un poids-lourd comme baisenville, la déco de ce dernier était une espèce de ramassis de paillettes de la tailles des faces d'un Rubik's cube. Bof, bof ; et c'est pas Tagada qui me contredira!
Ensuite, la prévenue portait (voir notre photo) une espèce de collant sous une espèce de mini-short en jean's tout mal découpé... et cela, sur une silhouette à la Sylvia Fine. Alors que j'écris ces mots, je me demande si Sylvia Fine n'avait pas plus de goût (là, je suis méchant avec Renee Taylor que j'aime beaucoup au demeurant)... je vous laisse avec mon dilemme et de quoi comparer...
Ah oui, avant de conclure définitivement ce triste billet, je tenais à verser une circonstance aggravante au dossier. En effet, la fille du métro de samedi était d'une vulgarité inouïe. Une vulgarité tout bonnement intrinsèque! Rien à voir avec Sylvia Fine, finalement!
2 Commentaire(s):
sans l'ombre d'une hésitation, je vote pour Sylvia
je ne me prononce pas quant a la vulgarite, c'est d'un commun....
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