samedi 8 mars 2008

Ce dont on ne peut dire le nom.


Il y a des samedis qui vous mettent en forme.

Une veille d'élections. Un lendemain de spectacle de théâtre. Arielle Dombasle contre le reste du monde. Une pose, en tout et pour tout. Toujours la même. Comme coulée et moulée dans la cire. Un Grévin. En mieux, forcément. Arielle reste Arielle. Qu'elle chante Besame mucho, Les nuits d'une demoiselle ou Où tu veux, elle joue dans le même registre. Hésitant en facilité et immuabilité. De la constance de l'artiste. Côté cour ou côté jardin.

Quelques notes suffisent à faire vibrer ou sourire. Des mots ajoutés aux uns et aux autres, ne voulant presque rien dire. "Où tu veux, quand tu le veux, si tu le veux. Si tu savais..." Avec qui tu veux, pourquoi tu le veux, si tu savais. On pourrait continuer longtemps.

Que ne ferait-on pas pour oublier ce pouvoir d'achat qui nous file d'entre les doigts. Rassurez-vous, ça n'ira pas en s'améliorant.

Oui, le samedi, j'aime être optimiste!

0 Commentaire(s):

Enregistrer un commentaire